Comme nous le savons tous, le chat adopte une pratique de propreté méticuleuse en se nettoyant sans cesse. Ce geste s’inscrit dans la ligne du toilettage. Mais, il arrive également que les chats dépassent vite une situation jugée raisonnable, en effet, il se peut que les chats se trouvent dans un état de léchage excessif. Quelles pourraient être les causes ainsi que les conséquences de ce geste ?
Les causes du toilettage excessif
De prime abord, quand le léchage excède le raisonnable, votre minou a forcément quelques ennuis de santé et/ou de bien-être. Effectivement, de nombreuses maladies parasitaires ou dermatologiques telles que les puces, la gale, les poux, la teigne, les allergies ou les infections de la peau peuvent déclencher le léchage excessif. Votre chat se trouve ainsi dans un inconfort dermatologique, ce qui aura un impact sur son comportement : stressé, il va sûrement s’isoler. Vous penserez que c’est le stress qui a provoqué le léchage excessif alors qu’il peut s’agir d’une véritable maladie de la peau.
Par ailleurs, le léchage compulsif peut être aussi d’origine anxieuse. Lorsque le chat fait face à un changement de territoire (déménagement, changement de mobilier …) ou une modification du groupe familial (arrivée d’un nouvel animal de compagnie ou d’un bébé, décès du maître …), il peut être déstabilisé, le conduisant à adopter ce comportement. Quoi qu’il en soit, en cas de léchage excessif, les poils sont progressivement cassés à la racine et de larges plages dépourvues de poils apparaissent.
Les mesures à prendre pour combattre le léchage excessif
En tout premier lieu, pensez à consulter votre vétérinaire pour éviter toute maladie dermatologique. D’ailleurs, à ce propos, les soins réguliers doivent être également bien suivis pour assurer un maintien de la santé du chat. Afin de faire face aux éventuelles dépenses, nous vous conseillons de souscrire une assurance chat pas cher .
Pour combattre les cas d’anxiété, il est judicieux de restaurer son territoire dans le sens où vous devez prendre soin de votre compagnon. Ensuite, rendez l’environnement apaisant en aménageant par exemple une cachette. Et enfin, ne laissez pas place à l’anxiété, une consultation comportementale chez un vétérinaire qualifié est de mise.